Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
le gouffre des mots
le gouffre des mots
19 juin 2008

poeme ce monde étais le notre

Mon ange, toi tu m’as fait changé
la je te regarde, et tu m’as oubliée
tu sourie a d’autre, te laisse draguée
tu plait aux hommes pour ta beauté
tu m’as un jour de tes doigts effleurés
sa, jamais je ne pourrai l’oublier
en mon âme, sa restera a jamais gravé
dans la profondeur de tes yeux, que j’ai tant regardés
je m’y suis perdu une fois par curiosité
j’y ai trouvé un lieu enchanté
loin de la peur, de la haine, la méchanceté
j’y ai rencontré une grande amitié
le bonheur de vraiment aimer
la force et la sagesse de la bonté
les chaines de ma prison y ont été brisée
près de cette fontaine, je me suis arrêté
une eau fraiche, une eau claire, une eau d’éternité
celle que j’ai bu, et qui m’as donné envie de t’aimer
et en moi, des ailes blanches ont poussées
et dans ce ciel si bleu, je me suis envolé
c’est la que je t’ai rencontré
il faisais beau, il faisais chaud, tu m’as regarder
et sans rien dire tu t’es approchée
tu as prise ma main, mon cœur c’est embrasé
tu m’as chuchotée
suis moi, ne soit pas effrayé
il y a un secret que je veux te confier
il y a un endroit que je veux te montrer
et je t’ai suivi les yeux fermés
au travers de ce paradis tu m’as guidée
je sentais en moi ton sang coulé
au travers de ma main, celle qui tu as agrippée
c’est au bord d’un lac qu’on c’est arrêté
ce voyage a tant duré
le soleil étais en train de se coucher
et sur les ondulation de l’eau, ses couleur y étaient reflétées
ce paysage étais d’une incroyable beauté
tu tenais ma main, et on a parler
et comme sa, la nui est tombée
et les étoiles ce sont mises a brillées
et sur l’herbes ont c’est allongés
et nous avons contemplés la voie lactée
et ma main, tu ne l’as pas lâchée
au travers de ce ciel étoilé
j’ai compris que j’étais en train de contempler
la profondeur de l’amour que tu me portais
ton parfum m’as envouté
ton sourir m’as émerveillé
je ne sentais en moi que mon cœur qui battai
si intensément, j’étais perturbé
ma tête c’est mise a tournée
et mon corps c’est mis a tombé
et j’ai repris mes esprit dans la réalité
tu étais la tu m’a regardée
tu m’as sourie, et t’es retournée
l’espace d’un instant, je t’es regardé
et tes yeux m’ont foudroyés
de puis ce jour, je ne cesse de t’aimer

                               Ce monde étais notre…

Publicité
Commentaires
le gouffre des mots
Publicité
Publicité